Jérôme Bosch, le Prestidigitateur, entre 1475 et 1505

Voilà. Un an de silence et de méditation pour moi et interstrate pour arriver à cette conclusion. Je fais partie des 10% de personnes (mon estimation instinctive) qui sont certains que le processus que nous subissons n’a pas de réelle justification, et que la vaccination présentée comme indispensable n’a rien de nécessaire. Après un an et demi d’observation des médias, et lectures de multiples études

scientifiques (celles qui sont censurées par les médias parce qu’elles peuvent induire de l’ »hésitation vaccinale », et les autres qui sont mises en avant) j’en suis persuadé.

Mais même si je n’avais pas lu ces études, je me sentirais légitime à dire que je n’y crois pas, simplement parce que le récit que nous font les médias n’est absolument pas crédible, change continuellement, et que les acrobaties intellectuelles de la presse pour effectuer cette censure subtile par omission, « à l’insu de son plein gré », sont trop visibles, et énormément visibles.

Censure et conditionnement subliminaux

J’ai eu l’occasion de voir les fact-checkers en action, y compris près de moi, au sein du Département de Philosophie de l’Université de Genève. Leur petit manège qui consiste à conditionner l’opinion de manière subliminale a priori mérite d’être dénoncé. Il correspond aux conclusions récente de la technocratie occidentale: contrairement à ce qu’on pensait depuis Aristote, l’être humain n’est pas rationnel, il faut le canaliser subliminalement. [exemple emblématique de cette dérive naturalisée en mode de gestion inquestionné: le « Nudge », qui fascine les « éthiciens » qui entourent Saymia Hurst, la vice présidente de la Task Force Covid suisse.. nous en reparlerons]

Ainsi s’est infiltré partout (médias, réseaux sociaux, Université, lieux « scientifiques ») l’idée de censure préventive des opinions « mal éclairées » et de prévention de l’*Hésitation vaccinale » (ainsi ce jeune athlète américain qui a été censuré par TikTok pour avoir parlé de sa myocardite à la suite du vaccin, que son médecin a eu l’audace de considérer comme cause probable de la pathologie!). D’ailleurs on se fait aujourd’hui très souvent censurer par les réseaux sociaux si l’on diffuse des étude/article répondant aux standards scientifique mais qui pourraient « susciter de l’hésitation vaccinale ».

Ceci est fait par des institutions qui se prévalent d’une science qui semble constituée a priori, quitte à dénier les faits réel (ceux sur lesquels est censée se baser la science empirique!!!) On est aux antipodes de ce que l’éthique des sciences et son histoire nous apprend… Karl Popper et Thomas Kuhn doivent se retourner dans leur tombe. 

Faillite des élites et des universitaires

Ces trafics et manipulations des médias et des fact-checkers, au nom d’une science normale a priori, aucun des universitaires qui m’entoure n’est capable de la repérer. Ainsi va la spécialisation et l’ethos anti politique hérité de la période qui se termine (le capitalisme libidinal tardif où l’individu consommateur prend le cadre où il est, la Cité, pour acquis, tandis qu’Aristote et les anciens savaient qu’il dépendait de nous autant que nous dépendions de lui). Du coup, la classe intellectuelle, cynique et détachée, est aujourd’hui en première ligne des victimes de la propagande (et acteurs pour certains, conscients ou à l’insu de leur plein gré). Cette corruption massive de l’espace public depuis deux ans c’est déjà la fin de la démocratie et de la société dans laquelle on m’a appris à vivre.

Rares intellectuels à contre-courant

Certains intellectuels ont décidé courageusement de faire sécession face au bloc « covidiste », au risque du suicide social et professionnel: ainsi a fait le sociologue Laurent Muchielli (et son blog sur médiapart récemment censuré parce qu’il rapportait les accidents suite au vaccin), mon compatriote genevois Jean-Dominique Michel, et bien sûr dans le domaine de la philosophie, Giorgio Agamben. Mais les voilà à présent inaudibles, diabolisés, isolé dans leurs champs respectifs…

Impossible de croire ces médias quand on les écoute (bien)

Selon les médias hystérisés, je nourris donc moi aussi une pensée dangereuse, biaisée, notamment parce que motivée par la haine, le ressentiment et le refus d’aller de l ‘avant (telle est la fine rhétorique déployée pour justifier la censure très largement exercée par les réseaux sociaux et les factcheckers officiels, comme dans  cet article d’aujourd’0hui de la tdg.ch, signé d’une agence, avec la chaîne d’amalgames devenue un théorème pour la presse: quelqu’un qui se pose des questions sur ces injections [qui ne sont pas techniquement des vaccins au sens classique] est un antivax, même s’il a toujours été en faveur des vaccins auparavant, de même qu’un anti-pass, et le tout est bien sûr complotiste). Tout est permis désormais.

Je pense que des intellectuels comme mon beau père (philosophe de métier, ancien Doyen de faculté à l’UniGe) qui m’a réaffirmé que je ne pouvais que me tromper (je suis cette histoire bien plus que lui, mais je dois tomber à ses yeux dans la catégorie de ceux qui, comme on essaie de classer Laurent Mucchielli, sont tombés dans une obsession malsaine… mais à ce compte-là, toute personne se penchant longtempa sur un sujet x ou y pourrait être justiciable d’une telle accusation). Il est sûr qu’il n’est pas facile de considérer que les journaux nous mentent et que des institutions sanitaires pourraient être victimes ou complices de mensonges de Big Pharma. Pourtant c’est les conclusions qui furent maintes fois tirées par des experts à la suite, notamment des précédentes pandémies (H1N1, grippe porci). (ce fut la conclusion d’une étude publiée par des experts de l’OMS en 2011 qui avaient examiné le cas de H1N1 en 2009, de même que celle de la commission mandatée par le Sénat français). Par ailleurs, si l’on se rappelle de la campagne de désinformation sur les armes de destruction massives pour justifier la guerre en Irak en 2003, on sait qu’il a été possible de faire affirmer mordicus un mensonge éhonté par tous les éditorialistes occidentaux (mensonge de guerre, et l’on songe à la rhétorique guerrière massivement employée pour le Covid).

Derrière la corruption médiatique et industrielle, on doit aussi penser à ce qui nous a été appris par Edward Snowden et surtout Assange (dont la libération la libération devrait être au premier rang des préoccupations des journalistes et des militants pour les Droits Humains). Le message de ces deux hommes confirme au niveau le plus concret les préoccupation du philosophe G. Agamben: pendant 20 ans à la suite du 11 septembre s’est formé d’abord aux Etas unis puis dans le reste du monde ce qu’on appelle désormais à raison l’Etat biosécuritaire. Le premier étage du Léviathan transnational a été posé à la suite du 11 septembre et de la guerre contre le terrorisme. Le deuxième étage est le contrôle biosanitaire qui s’installe. Tous les think tank/institutions/labos suspects impliqués dans le COVID sont par ailleurs impliqués dans la restructuration socio-économique massive qui se propose aujourd’hui au nom des nouvelles technologies (je pose en dessous les liens de gens qui détaillent ces intentions, leur manifestation et leur concrétisation). Le livre de Klaus Schwabb Covid 19, le Grand Reset, n’est à cet égard qu’un exemple parmi d’autres. J’encourage les gens à s’intéresser à ce maquis de projets divers qui convergent tous vers le contrôle massif par l’intelligence artificielle et une caste de technocrates qui pourrait exercer un contrôle subtilement centralisé à l’aide des nouvelles technoilogie. Et vous pouvez commencer par mon analyse de la simulation covid de 2019 déjà éclairante.

Pour les éléments concrèts sur lesuqels je me base, voici des gens sérieux qui s’y consacrent à plein temps que je vous encourage à suivre:

le collectif Reinfo Covid,

le grand sociologue Laurent Mucchielli, (dont le blog a quelsuqes soucis avec Médiapart)

mon cher compatriote genevois, l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, (aussi blog apparemment interrompu pour désaccord avec la tdg…)

la grande journaliste Whitney Webb qui a documenté les multiples liens suspects entre labo et entités diverses,

James Corbett qui a étudié en détail depuis longtemps les précédentes occurences de manipulations sanitaires, H1N1, grippe porcine, etc

Alison McDowell, qui documente comment les droits sociaux sont actuellement intégrés ni vu ni connu à des structures technocratiques visant à la « financiarisation de la gestion des pauvres »

Ryan Cristian, The Last American Vagabond pour une revue de presse qui documente toute la duplicité des processus de crypto-censure à l’oeuvre, et qui lit les papiers scientifiques de tout bord qu’il ponctue de commentaires sarcastiques revigorants, mais avec tout le sérieux nécessaire.